Le mot de Michel Bourdoncle sur la participation des Nuits pianistiques au Festival Auriol en sol
Propos recueillis par Florence Lethurgez
Quelles sont les circonstances de cette rencontre entre les deux festivals ?
J’ai rencontré Philippe Tachdjian après le confinement. Il est passionné par la musique, par l’idée de créer un festival et c’est chose faite aujourd’hui. Il a également envie de s’occuper des jeunes talents, de promouvoir des artistes de la région, mais pas seulement. Il est également sensible à ce qui se passe à l’international. Ces thèmes que nous avons en commun nous ont rapprochés.
Quel sens cela a pour toi d’associer Les nuits pianistiques à d’autres festivals de la région comme celui d’Auriol en sol ?
Monter un festival est faire preuve de générosité. Il faut faire don de soi, de son temps, de son énergie, pour une noble cause. Donc, quand il est possible d’associer les forces en présence, de penser ensemble un projet, c’est très bien. Je crois que l’être humain est avant tout un être social. À mon avis il y a des projets qu’il est bien d’imaginer et de réaliser collectivement. Il ne peut en résulter que du positif pour la jeunesse et la musique. Nous partageons ainsi un vrai amour pour la culture qui a bien besoin d’être accompagnée!